Note :
Le livre « Home in America : On Loss and Retrieval » de Thomas Dumm reçoit des critiques mitigées, certains louant son exploration réfléchie de la vie américaine et d'autres le critiquant pour sa perception négative de l'Amérique et de ses citoyens. L'auteur réfléchit aux complexités de la classe sociale, du foyer et de l'héritage historique, tissant un récit personnel qui suscite un sentiment de nostalgie et de critique. Cependant, certains lecteurs estiment que le livre exprime du mépris et de la haine pour l'Amérique, la jugeant indigne de temps et d'attention.
Avantages:Le livre est décrit comme étant réfléchi, sincère et magnifiquement écrit. Il propose une exploration approfondie des thèmes culturels et historiques américains, en particulier en ce qui concerne la classe ouvrière et l'héritage du travail. Les lecteurs apprécient l'approche nuancée de Dumm, qui aborde des sujets complexes sans nécessairement condamner ou absoudre qui que ce soit. Il encourage la curiosité et la réflexion critique sur l'identité américaine.
Inconvénients:Les critiques soutiennent que le livre présente une vision négative de l'Amérique et de ses valeurs, la caractérisant comme remplie de mépris pour les Américains blancs de la classe moyenne. Certains estiment que le point de vue de Dumm reflète l'élitisme et un manque d'empathie, peignant les citoyens américains sous une lumière crue. Plusieurs critiques déconseillent la lecture de ce livre, suggérant qu'il est trop critique et qu'il n'est pas représentatif des qualités positives du pays.
(basé sur 6 avis de lecteurs)
Home in America: On Loss and Retrieval
Une enquête extraordinaire sur le sens de la maison, à travers des explorations littéraires et politiques, philosophiques et profondément personnelles, par l'auteur acclamé de La solitude comme mode de vie.
Le foyer comme refuge imaginaire. Le foyer comme lieu de maîtrise et de domination. Le foyer comme destination et comme lieu d'évasion. Thomas Dumm explore ces conceptions typiquement américaines du foyer. Il nous emmène du Monticello de Thomas Jefferson et du Walden de Henry David Thoreau à la petite maison dans la prairie de Laura Ingalls Wilder et au homestead d'Emily Dickinson, et enfin à la maison qu'Herman Wallace a imaginée et qui l'a soutenu pendant ses quarante et un ans d'isolement au pénitencier d'État d'Angola.
Dumm soutient qu'il est impossible de séparer les aspects réconfortants et obsédants de la maison. Chaque chapitre révèle une dimension différente de l'expérience américaine de la maison : l'esclavage à Monticello, l'individualité radicale à Walden, la haine des Indiens dans l'expérience des pionniers, et le pouvoir de se souvenir et d'imaginer la maison dans l'enfermement extrême comme moyen d'évasion. Dans ces maisons se cachent des fantômes : des Afro-Américains réduits en esclavage et emprisonnés, des Amérindiens déplacés et massacrés, des femmes au foyer subordonnées, tous luttant pour composer leur vie dans un lieu appelé "maison".
Encadré par un prologue, "Dad", et un épilogue, "Mom", dans lesquels l'auteur réfléchit à sa propre expérience de l'enfance dans l'ouest de la Pennsylvanie, avec de jeunes parents dans une famille de neuf enfants, Home in America est une méditation magistrale sur la richesse et la pauvreté d'une idée qui perdure dans le monde que nous avons créé.
© Book1 Group - tous droits réservés.
Le contenu de ce site ne peut être copié ou utilisé, en tout ou en partie, sans l'autorisation écrite du propriétaire.
Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)