Note :
Le recueil de nouvelles de Claire Jimenez, centré sur Staten Island, capture les diverses voix et expériences de la vie dans le « borough oublié ». Les histoires sont louées pour leur humour et leur profondeur, qui permettent de mieux comprendre les personnages et le cadre unique. Le style narratif est apprécié pour son caractère artisanal, ce qui en fait une lecture captivante pour les habitants de la région comme pour ceux qui ne la connaissent pas.
Avantages:⬤ Excellent développement des personnages et narration unique.
⬤ Capture l'essence de Staten Island avec humour et honnêteté.
⬤ Recommandé aux écrivains et à ceux qui s'intéressent à l'art de la nouvelle.
⬤ Engage les lecteurs sur le plan émotionnel, suscitant rires et larmes.
⬤ Il donne un sens vivant du lieu, permettant même aux non-résidents de se sentir liés à Staten Island.
⬤ Certains trouveront peut-être que les histoires reflètent des stéréotypes négatifs associés à Staten Island, comme son image historique de décharge.
⬤ Les thèmes sombres peuvent ne pas plaire à tous les lecteurs.
(basé sur 7 avis de lecteurs)
Staten Island Stories
L'île de Staten Island, à New York, est souvent décrite comme l'arrondissement oublié. Mais avec Staten Island Stories, Claire Jimenez met en lumière les vies imaginées des habitants de l'île. Inspiré des Contes de Canterbury de Geoffrey Chaucer, ce recueil de nouvelles tragicomiques librement liées les unes aux autres traverse le temps pour explorer des moments déterminants de l'histoire de l'île, depuis l'accident du ferry de Staten Island en 2003 et le black-out de la ville de New York jusqu'à la crise croissante des opioïdes et de l'héroïne, en passant par le meurtre d'Eric Garner et l'élection présidentielle de 2016.
Dans la première histoire, "Tale of the Angry Adjunct", une enseignante d'université surmenée, incapable de payer son loyer, est traquée par un agent de recouvrement en colère alors qu'elle tente désespérément de trouver un emploi à temps plein. Dans "Who Would Break the Dark First", une famille portoricaine emménage dans une maison de ville hantée construite sur un ancien cimetière du XVIIIe siècle. Et dans "Great Kills", deux femmes se rendent à une réunion d'anciens élèves pour se venger, mais elles y trouvent la rédemption.
En examinant comment les hommes et les femmes de ces histoires naviguent - et luttent pour survivre - face aux défis du racisme, du classisme et de la toxicomanie, Jimenez dresse des portraits serrés et convaincants de travailleurs. Sa voix dure et énergique vous accompagnera longtemps après avoir posé le livre.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)