Note :
Les critiques de « The TWO Histories » mettent en évidence une grande confusion quant au contenu du livre, faisant la distinction entre l'histoire réelle de New London par Frances Manwaring Caulkins et un index séparé créé par Cecelia Griswold. De nombreux critiques expriment leur frustration d'avoir reçu un index au lieu du texte historique qu'ils recherchaient, ce qui les amène à s'inquiéter de la publicité mensongère. Cependant, certains commentaires positifs soulignent la valeur du livre d'histoire original pour la recherche généalogique et son contenu perspicace concernant l'histoire de la région.
Avantages:Le livre original de Frances Manwaring Caulkins est loué pour sa profondeur, son histoire complète de New London et son utilité pour la recherche généalogique. Les lecteurs apprécient ses histoires familiales détaillées et ses aperçus sur la fondation de la région. La qualité d'impression et la lisibilité de la réimpression sont également notées positivement.
Inconvénients:De nombreux lecteurs sont déçus que le livre qu'ils ont reçu ne soit qu'un index et non le texte historique proprement dit, ce qui leur donne l'impression d'avoir été induits en erreur ou trompés par le titre de l'ouvrage. Le manque de clarté dans la description du produit quant à la version achetée est une plainte fréquente, de même que les critiques concernant le contenu de l'index uniquement, qui n'est pas utile pour ceux qui recherchent l'histoire complète.
(basé sur 22 avis de lecteurs)
History of New London, Connecticut
Ce livre historique peut comporter de nombreuses fautes de frappe et des textes manquants. Les acheteurs peuvent télécharger gratuitement une copie scannée du livre original (sans les coquilles) auprès de l'éditeur. Non indexé. Non illustré. 1852 Extrait : ... de 1676 peut être attribué. M. Carpenter vivait à Niantic Ferry, qu'il avait loué à Edward Palmes. Il laisse un fils unique, David, baptisé le 12 novembre 1682, et plusieurs filles. Sa relique épousa William Stevens, de Killingworth. Alexander Pygan mourut en 1701. A son arrivée dans la plantation, M. Pygan semble avoir été un jeune homme sans foi ni loi, d'un "caractère passionné et coléreux", comme on le disait alors.
On peut supposer qu'il a "quitté son pays pour le bien de son pays". Mais les contraintes et les influences dont il a été entouré ont produit leur effet légitime et il est devenu un membre discret et précieux de la communauté. Alexander Pygan, originaire de Norwich, en Vieille Angleterre, a épousé Judith, fille de William Redfin (Redfield), le 17 juin 1667. Enfants. 1. Sarah, née le 23 février 1669-70.
Elle a épousé Nicholas Hallam. 2. Jane, née en février 1670-1.
Épouse Jonas Green. Mme Judith Pygan est décédée le 30 avril 1678. Après la mort de sa femme, M. Pygan s'installa quelques années à Saybrook, où il possédait un magasin de marchandises et était autorisé par le tribunal du comté à tenir une auberge. C'est là aussi qu'il épousa une femme estimable, Lydia, relique de Samuel Boyes, le 15 avril 1684. Un seul enfant est issu de ce mariage. 3. Lydia, née le 10 janvier 16S4-5.
Elle a épousé le révérend Eliphalet Adams. Samuel Boyes, le fils de Mme Lydia Pygan, né de son premier mari, est né le 6 décembre 1673. M. Pygan retourna bientôt avec sa famille à New London, où il mourut en 1701. Il est la seule personne du nom de Pygan que le travail des généalogistes a pu mettre en évidence en Nouvelle-Angleterre. Sa relique, Mme Lydia Pygan, est décédée le 20 juillet 1734. Elle était la fille de William et Lydia Bemont, de Saybrook, et née le 9 mars 1644. 1 1 On dit que sa mère...
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)