Note :
Ce livre offre un portrait complet et nuancé de la présidence d'Herbert Hoover, en particulier pendant la Grande Dépression. Il met en lumière à la fois ses efforts et ses faiblesses, donnant un aperçu de son caractère complexe et des défis qu'il a dû relever en tant que président. Bien que certains lecteurs aient trouvé le texte fastidieux et trop détaillé par moments, beaucoup ont apprécié sa nature informative et bien documentée.
Avantages:⬤ Bien écrit et bien documenté
⬤ donne une vision équilibrée et informative de la présidence de Hoover
⬤ comble les lacunes dans les connaissances sur la Grande Dépression
⬤ aborde les complexités du caractère et des politiques de Hoover
⬤ offre des aperçus du contexte historique de ses décisions.
⬤ Certaines parties sont trop détaillées ou fastidieuses
⬤ le manque d'intérêt pour la vie personnelle de Hoover
⬤ la structure non chronologique peut rebuter
⬤ certains lecteurs ont eu l'impression qu'il était difficile de s'attacher à Hoover en raison de ses traits de personnalité
⬤ des sujets spécifiques tels que Smoot-Hawley n'ont pas reçu suffisamment d'attention.
(basé sur 48 avis de lecteurs)
Herbert Hoover in the White House: The Ordeal of the Presidency
"Un portrait habile et complet du trente et unième président... de loin la meilleure étude de la présidence d'Herbert Hoover à ce jour" (Publishers Weekly) qui s'appuie sur des sources rares et intimes pour montrer qu'il n'avait pas le tempérament nécessaire pour ce poste.
Herbert Clark Hoover a été le trente et unième président des États-Unis. Il n'a exercé qu'un seul mandat, de 1929 à 1933. Souvent considéré comme placide, passif, antipathique, voire paralysé par les événements nationaux, Hoover a dû mener une lutte acharnée contre la Grande Dépression.
De nombreux historiens le considèrent comme simplement inefficace.
Mais dans Herbert Hoover à la Maison Blanche, Charles Rappleye enquête sur les mémoires, les journaux intimes et les milliers de documents conservés par les membres de son cabinet et ses proches conseillers pour révéler un personnage très différent de celui qui est souvent dépeint. Cette biographie "captivante" (Christian Science Monitor) montre que le véritable Hoover ne disposait pas des outils nécessaires pour diriger.
En public, Hoover était timide et réservé, mais en privé, Rappleye le montre comme un homme de passion et parfois de fureur, un homme qui intriguait contre ses ennemis tout en fulminant contre les complots dont il était l'objet. Rappleye le décrit comme un homme plus sophistiqué et plus actif en matière de politique économique qu'on ne le dit souvent. Nous voyons Hoover observer à l'horizon un FDR ensoleillé (et qu'il croyait ignorant), expérimentant des mesures pour soulager la dépression.
Le Hoover que nous voyons ici - brillant, bien intentionné, énergique - n'avait pas l'unique élément critique pour réussir en tant que président. Il avait un esprit de premier ordre et un tempérament de second ordre. Herbert Hoover à la Maison Blanche est une leçon de choses sur le plus grand, voire le seul, des talents nécessaires pour être un président efficace : le tempérament de leader.
Cette "nouvelle évaluation impartiale et étonnamment sympathique du président tant décrié qui a dû faire face au plongeon de la nation dans la Grande Dépression (...) occupe une place importante dans les études sur les présidents" (Kirkus Reviews).
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)