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Geography of Loss
Les poèmes de Judith sont proches de l'os, terreux, organiques. Tout en reconnaissant le chagrin, la perte, la souffrance, ils les élèvent et les transforment. Du charbon naît le diamant. De la perte naît la lumière.
Jan Phillips, auteur, conférencier, artiste et militant.
« Dans la Géographie de la perte, Judith Prest nous rappelle qu'« il faut parfois un jour sombre pour que je trouve ma propre lumière », alors qu'elle dresse la carte de ces départs que les gens doivent endurer et surmonter du mieux qu'ils peuvent. Les grandes tantes, les deux parents, une grand-mère bien-aimée et décédée dont la spatule disparaît et crée une absence que la mémoire comble. Malgré les « notes discordantes » de la mort, nous continuons, disent ces poèmes, c'est ce que nous faisons en tant qu'êtres humains, jusqu'à ce que même « sous le présent, les contours des arbres fantômes se tiennent en sentinelle, témoignent ».
-Sean Thomas Dougherty, auteur de The Second O of Sorrow.
Les poèmes de Judith parlent avec élégance et simplicité de la perte, de la vie et de l'amour. Ses mots poignants sur ses expériences personnelles puisent dans l'expérience universelle de ce que c'est que d'être humain, de se connecter, d'aimer, de perdre et de continuer. Avec ses mots, on peut ressentir profondément, peut-être pleurer, peut-être rire, et très certainement être changé.
Trish Ford, médecin en soins palliatifs.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)