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Ce nouveau recueil étonnant de Nii Ayikwei Parkes contient des poèmes qui embrassent le jeu, l'amour et l'éphémère, tels que les plans d'eau, le sang/l'héritage, l'histoire et les ragots, ainsi qu'une bonne dose de musique et de culture populaire.
S'intéressant à la phase de la vie que l'on appelle parfois la crise de la quarantaine, The Geez navigue sur les lignes floues entre l'âge et la jeunesse, le réel et l'imaginaire, ce qui est vu et ce qui est - ce qui attire le regard et ce qui se trouve en dessous. Conçu en quatre sections, le recueil passe du jeu à l'amour, aux ragots et, enfin, à l'exploration des intersections entre soi et la culture contemporaine, y compris une partie inspirée par les légendes du blues, reprenant le mythe du carrefour, ainsi qu'une lettre d'amour en onze parties à la diaspora africaine - en particulier aux Afro-Américains, dont les sacrifices ont contribué aux libertés encore réprimées des Noirs dans le monde entier.
Un certain nombre de poèmes de The Geez sont écrits dans une forme appelée Gimbal, qui a été développée par Nii - initialement pour surmonter le chagrin qu'il éprouvait à la suite de la perte de son père. Cette forme évoque le fonctionnement d'un gyroscope - en rotation mais stable - un état qui fait écho à la liminalité qui est à la base de ce recueil.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)