Note :
Fowler's End est un roman comique qui se déroule dans le Londres de 1929 et qui est raconté par Daniel Laverock, le gérant d'un cinéma en faillite. Il présente des personnages riches, en particulier le propriétaire verbeux Sam Yudenow, et utilise un dialecte distinct qui ajoute à son charme et à sa difficulté. Si de nombreux lecteurs apprécient l'humour et la profondeur des personnages, certains trouvent que l'intrigue laisse à désirer et que le dialecte est difficile à comprendre.
Avantages:⬤ Des personnages riches, en particulier Sam Yudenow
⬤ humoristique et divertissant avec une utilisation unique de la langue
⬤ des caractérisations convaincantes dans un Londres vivant des années 1920.
⬤ Peu ou pas d'intrigue
⬤ écrit en dialecte, ce qui peut être difficile à lire
⬤ l'histoire fait souvent des méandres et perd de son intérêt.
(basé sur 5 avis de lecteurs)
"L'un des plus grands romans comiques du siècle. - Anthony Burgess.
" Une aventure exubérante avec une bande de grotesques dans une banlieue londonienne vraiment horrible... très amusant." - Manchester Guardian.
"Rabelaisien, vigoureux, lisible, inventif et bizarre. - Simon Raven.
"Le meilleur de son œuvre. - Harlan Ellison.
Dans le pire, le plus pauvre et le plus malheureux coin de Londres se trouve Fowlers End, l'un des endroits les plus mal famés de la planète. C'est là que le jeune Daniel Laverock, affamé et presque sans le sou au plus fort de la Grande Dépression, accepte le seul emploi qu'il trouve : gérant du Pantheon Theater, un vieux cinéma muet délabré appartenant à Sam Yudenow. Yudenow, un incorrigible escroc et l'un des plus grands grotesques comiques de la littérature anglaise, semble d'abord n'être qu'un vieux fou amusant, mais Laverock découvre bientôt qu'il s'agit en fait d'un méprisable voyou. Et lorsque l'un des stratagèmes de Yudenow va trop loin, Laverock et son collègue Copper Baldwin décident de lui donner une leçon en mettant au point leur propre stratagème, avec des résultats aussi hilarants qu'imprévisibles.
Publié pour la première fois en 1957, Fowlers End est considéré par beaucoup comme le chef-d'œuvre de Gerald Kersh (1911-1968). Ce roman comique, qui fait écho à Dickens, Rabelais et à L'Opéra des mendiants, reste l'un des romans anglais les plus drôles du XXe siècle et l'une des meilleures œuvres de fiction jamais écrites sur Londres. Cette édition comporte une introduction de Michael Moorcock, romancier primé et admirateur de longue date de Kersh.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)