Fever
« Ron Koertge est capable d'élever les lieux ordinaires de l'Amérique----le jardin, la salle de classe, le centre commercial----en scènes d'une importance faussement épique. Il peut tout aussi bien abaisser les mondes mythiques de Superman, Ozymandias et Cendrillon à un niveau à peine supérieur au pathétique. Et il fait tout cela avec une charmante combinaison d'esprit et d'empathie, de satire et de douceur ».
--Billy Collins.
Je penserais qu'un poème intitulé « Getting Tough with John Ruskin », « Ozymandias and Harriet » ou « Teen Jesus » suffirait à séduire n'importe quel lecteur. Mais il faut savoir que Koertge se promène aussi avec un lexique qui comprend des locutions telles que « snazzy », un mot que je n'ai pas entendu depuis ma dernière partie de Canasta en 1959. Nous savons tous qui a dit que la poésie commence dans le plaisir et finit dans la sagesse, mais Koertge pourrait l'avoir dit parce que ses poèmes sont du plaisir et de la sagesse tout du long. Ils sont également très drôles, comme l'est souvent le vrai sérieux. Il s'agit d'un livre élégant, mais aussi d'un beau livre, et je vous conseille vivement de l'acheter ».
----B. H. Fairchild.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)