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Reformed Epistemology: The relation of Logos and Ratio in the history of Western epistemology
Comme l'explique Anthony Tol dans son introduction générale au discours inaugural de Vollenhoven de 1926 (sa traduction), l'épistémologie réformée que Vollenhoven adopte ici est essentiellement à trois niveaux. La plus fondamentale est l'intuition - le point de départ de toute connaissance.
Elle commence par le discernement. Ensuite, il y a la connaissance. À ce stade, le langage, la communication et les jugements entrent en ligne de compte.
La troisième couche est la pensée.
La pensée peut révéler et renouveler ou critiquer et corriger sur la base de ce que nous savons. La pensée est également au cœur de la formation des concepts.
Le facteur qui traverse ces trois couches est la vérité, prise de manière réaliste. Elle a son siège dans l'intuition du discernement. Elle est au cœur de la connaissance, car on dit que l'essence de la connaissance est de « posséder la vérité ».
Et en relation avec la pensée, ou plus particulièrement avec la formation des concepts, cette dernière est décrite comme « la vérité saisie dans une forme ». En plus de défendre sa propre conception de l'épistémologie dans ce discours inaugural, Vollenhoven s'oppose à la manière dont l'épistémologie est généralement comprise. Cette critique s'inscrit dans une perspective historique.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)