Note :
L'ouvrage de Richard Blanco, Directions to the Beach of the Dead, a été salué pour sa profondeur émotionnelle, son imagerie captivante et sa capacité à établir un lien personnel avec les lecteurs. Cependant, tous les lecteurs n'ont pas ressenti une forte connexion avec ce recueil particulier, notant que ce n'était pas leur œuvre préférée de Blanco.
Avantages:Une poésie très engageante et émotionnelle, une belle imagerie, une capacité de résonance auprès d'un large public et une forte représentation des thèmes culturels. De nombreux lecteurs se sont sentis touchés et inspirés par la nature intime des poèmes, qui évoquent des souvenirs et des émotions personnels. Les œuvres de Blanco sont décrites comme passionnées et faciles à lire.
Inconvénients:Certains lecteurs n'ont pas été aussi sensibles à ce recueil qu'aux œuvres précédentes de Blanco, ce qui indique qu'il n'a peut-être pas trouvé d'écho chez tout le monde. Quelques-uns ont estimé qu'il avait moins d'impact que ses autres poèmes.
(basé sur 10 avis de lecteurs)
Dans son deuxième recueil de poèmes narratifs et lyriques, Richard Blanco explore la quête familière et troublante d'un foyer et de liens, ces réflexions angoissées sur d'autres vies : "Devrais-je vivre ici ? Pourrais-je vivre ici ? "Qu'il s'agisse de l'exotisme ("Je suis frappé par la fièvre maltaise... Je rêve d'acheter une petite ferme maltaise...) ou simplement différentes ("Aujourd'hui, la maison est un cottage avec le matin dans le bâillement d'une fenêtre ouverte..."), il examine l'agitation qui menace de rester sur place, la peur de trop d'endroits et de trop peu de temps.
Les mots sont imprégnés de son héritage cubain : Marina préparant la sauce mole.
T a Ida amère de la révolution, regrettant ses sœurs qui se sont enfuies à Miami.
Son père, en particulier, "ses cheveux autrefois aussi noirs que le noir de ses oxfords..." Il s'agit pourtant d'un ouvrage destiné à tous ceux qui ont aspiré à des bras et des mots enveloppants, et à ce sanctuaire qu'est la maison. "Une grande partie de ma vie s'est déroulée ainsi : suspendue, en mouvement vers des lieux et des noms inconnus ou retournant vers ceux que je connais, ce qui correspond au paradoxe de la traversée, du fait d'être nulle part et pourtant ici. Blanco embrasse la juxtaposition. Il y a le Cubain Blanco, l'Américain Richard, l'ingénieur de jour, le poète de cœur, les rythmes de l'espagnol, les percussions de l'anglais, le professionnel du premier monde, l'immigré, l'homosexuel, le monde hétérosexuel. Il y a l'ennui derrière la question : pourquoi ne puis-je pas simplement vivre là où je vis ? Il y a aussi le soulagement précieux et fugace lorsqu'il peut écrire "... Je n'ai pas peur, pour un moment, de n'être rien de plus que ce que j'entends et vois, rien de plus que ceci : ..". C'est aussi ce que nous espérons tous.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)