Avec toutes les nouvelles mondiales sur cette pandémie et son effet de tuer des milliers de personnes qui a commencé à la fin de 2019. La réponse du président des États-Unis, Donald Trump, alors que la pandémie fait rage en Chine, en Corée, au Japon, en Iran et dans plusieurs autres pays, a été de six à huit semaines au moins pour se préparer avec un régime d'essais américain pour faire face au coronavirus.
Le message du président Donald Trump était très clair : "Non, non, ce n'est pas un problème, ne vous en préoccupez pas." Le 22 janvier 2020, s'adressant à CNBC à Davos, en Suisse, le président Donald Trump a rejeté le virus : "Nous le maîtrisons totalement, il s'agit d'une personne en provenance de Chine, et je le maîtrise. Tout ira bien." Cela a fait reculer les États-Unis. En tant qu'Américain ayant une femme et une famille aimantes, c'est le cœur lourd que je dis à quel point je suis désolé pour ceux qui sont morts ou qui ont eu la longue tâche de survivre au virus COVID-19.
Il n'y a pas de mots ou de longs discours qui puissent être prononcés à l'intention de ceux qui ont ressenti cette douleur. Chaque jour, mon cœur est blessé lorsque je vois la souffrance des patients dans les hôpitaux, ceux qui sont sous respirateur avec l'espoir de survivre.
À tous les parents, grands-parents, enfants, petits-enfants, tantes, oncles, cousins et bien d'autres amis qui ont perdu un être cher à cause de ce virus, je dis que rien ne peut remplacer la perte d'un être cher. J'aimerais seulement qu'il y ait un moyen de compenser la souffrance de chacun.
Avec amour et gentillesse, Gerald L. Hutson.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)