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Deep Cuts
Bien que l'alpha et l'oméga de la poésie de Steve Coughlin restent l'événement traumatique unique qui a irrévocablement déstabilisé sa famille il y a plusieurs décennies, nombre de ces poèmes font preuve d'une nostalgie ludique, presque absurde, alors qu'il loue les années 1990, contre-interroge Ronald McDonald et imagine son alter ego suave et hipster en train de fréquenter les stars d'Hollywood. Dans Deep Cuts, Coughlin juxtapose des poèmes de narration journalistique calme et astucieuse avec des poèmes d'imagination fantaisiste à mourir de rire, espérant peut-être rectifier - réécrire - tous ces moments anciens qui ont mal tourné.
-Cal Hitzrot
Ces poèmes sont remplis de musique, de stars de cinéma et de l'attrait de la route. Ils sont pleins de la douleur de la nostalgie, de la douleur perçante de la perte et de l'humour qui nous aide à gérer à la fois la nostalgie et la perte. L'écriture de Coughlin est observatrice, assurée, ouverte, pleine d'esprit et de sagesse. La vie est difficile dans ces poèmes, mais nous en sortons prêts à relever ces défis, prêts à déterrer les pépites de rédemption qui s'y trouvent sûrement aussi.
Brad Wilburn
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)