Note :
Le livre de Daniel Aldrich explore l'importance du capital social dans la reprise après une catastrophe, en soutenant que les relations sociales et les liens communautaires sont cruciaux pour la résilience. Il comprend des études de cas bien documentées et des analyses quantitatives qui démontrent le rôle du capital social dans le rétablissement après une catastrophe. Si de nombreux lecteurs l'ont trouvé perspicace et engageant, certains ont noté qu'il pouvait être dense et complexe à lire.
Avantages:⬤ Bien documenté avec des études de cas convaincantes
⬤ souligne l'importance du capital social dans le rétablissement
⬤ présentation accessible d'idées complexes
⬤ fournit des idées pratiques aux professionnels de la gestion des urgences
⬤ met en évidence les aspects positifs et négatifs du capital social.
⬤ Certains lecteurs ont trouvé le livre lourd et trop dense
⬤ tous les concepts n'étaient pas clairement définis ou accessibles
⬤ quelques critiques ont indiqué qu'il semblait exhaustif en termes d'informations de base sans aborder succinctement les questions clés.
(basé sur 12 avis de lecteurs)
Building Resilience: Social Capital in Post-Disaster Recovery
Chaque année, des catastrophes naturelles menacent la force et la stabilité des communautés du monde entier. Pourtant, les réponses aux défis de la reconstruction varient considérablement et d'une manière qui ne s'explique pas par l'ampleur de la catastrophe ou le montant de l'aide fournie par les gouvernements nationaux ou la communauté internationale.
La différence entre la résilience et le délabrement, comme le montre Daniel P. Aldrich, réside dans la profondeur du capital social des communautés. Building Resilience souligne le rôle essentiel du capital social dans la capacité d'une communauté à résister à une catastrophe et à reconstruire les infrastructures et les liens qui sont à la base de toute communauté.
Aldrich examine les réactions de quatre communautés distinctes après une catastrophe - Tokyo après le tremblement de terre de 1923, Kobe après le tremblement de terre de 1995, le Tamil Nadu après le tsunami de 2004 dans l'océan Indien et la Nouvelle-Orléans après Katrina - et constate que celles qui disposent de réseaux sociaux solides sont mieux à même de coordonner le rétablissement de la situation. Outre la diffusion rapide des informations et de l'aide financière et physique, les communautés dotées d'un capital social abondant ont été en mesure de minimiser la migration des personnes et des ressources précieuses hors de la région.
Les gouvernements étant de plus en plus sollicités et les catastrophes naturelles étant susceptibles d'augmenter en fréquence et en intensité, il est plus important que jamais de bien comprendre ce qui contribue à une reconstruction efficace. Construire la résilience met en évidence un élément essentiel d'une réponse efficace.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)