Note :
Le livre « Oh How Can I Keep on Singing ? Voices of Pioneer Women » de Jana Harris est un recueil de poèmes bien documenté qui explore la vie des femmes pionnières à la fin des années 1800 dans la région d'Okanogan, dans l'État de Washington. Les poèmes donnent une voix individuelle aux expériences de ces femmes, capturant leurs luttes et leur résilience dans des circonstances difficiles.
Avantages:Le livre est salué pour la richesse de ses recherches historiques, l'inclusion de photographies et la profondeur émotionnelle des poèmes. Les critiques apprécient les perspectives uniques données à chacune des femmes pionnières, qui contrebalancent les représentations idéalisées de l'époque des pionniers. L'ouvrage est également jugé attrayant et mérite d'être lu plusieurs fois.
Inconvénients:Certaines critiques laissent entendre un certain degré de partialité de la part de lecteurs connaissant la région d'Okanogan, ce qui peut nuire à leur objectivité. Aucun inconvénient majeur n'a été explicitement mentionné, mais il est clair que les lecteurs peuvent avoir une préférence pour les récits plus émotionnels et spécifiques que pour les récits généraux.
(basé sur 3 avis de lecteurs)
Oh How Can I Keep on Singing?: Voices of Pioneer Women
Lors de la création du Territoire de Washington, la vallée de l'Okanogan, étroite et isolée, fut considérée comme une terre en friche et une réserve indienne, la Chief Joseph Reserve, y fut établie. Mais lorsque de l'argent a été découvert près de ce qui est devenu Ruby City, les terres ont été réappropriées et les Amérindiens ont été déplacés dans une zone plus restreinte.
L'Okanogan a ensuite été ouvert aux colons blancs, dans l'espoir de rendre la région plus attrayante pour les mineurs. Les monologues dramatiques interconnectés de Oh How Can I Keep On Singing ? racontent l'histoire des femmes oubliées qui se sont installées dans l'Okanogan à la fin du XIXe siècle, arrivant en charrette tirée par des chevaux dans un endroit où le temps était prétendument si beau qu'il n'était pas nécessaire d'avoir une grange pour élever du bétail.
Tous les nouveaux arrivants n'ont pas survécu à l'hiver 1893, qui a tué le bétail. Parmi ceux qui ont survécu, certains n'auraient pas survécu si les autochtones ne les avaient pas aidés.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)