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How HIV/Aids Set the Stage for the Covid Crisis
Lorsque le Covid-19 a commencé à ébranler le monde au début de l'année 2020, Neville Hodgkinson, ancien correspondant médical et scientifique, a ressenti un troublant sentiment de déjà-vu. Ce n'était pas tant à cause des dégâts causés par le virus que de la réponse mondiale qui lui a été apportée. Des bureaucraties puissantes, financées par l'État, ont si mal géré l'urgence qu'elles ont dévasté des millions de vies dans le monde entier. Big Brother, Big Pharma, Big Tech, les médias et les universités ont formé une alliance contre nature qui a entraîné une trahison profonde des intérêts individuels, sociaux et nationaux.
Hodgkinson travaillait au Sunday Times de Londres lorsqu'une panique mondiale similaire s'est produite au milieu des années 1980. Des scientifiques du gouvernement américain ont promulgué l'idée qu'un virus mortel sexuellement transmissible, le VIH, se propageait silencieusement à travers le monde, provoquant un effondrement du système immunitaire chez les personnes infectées. Des centaines de milliards de dollars du contribuable ont été versés aux entreprises pharmaceutiques, aux chercheurs et à d'innombrables organisations non gouvernementales, convaincus que la vie de millions de personnes était en jeu.
Hodgkinson a fait un reportage conventionnel sur le sida pendant quelques années avant d'apprendre que plusieurs scientifiques de renom avaient contesté le "VIH" comme cause du sida dès le début, mais avaient été réduits au silence au milieu de la panique et de la propagande. Andrew Neil, alors rédacteur en chef du Sunday Times, a décidé que la voix de ces scientifiques méritait d'être entendue et, en avril 1992, le journal est devenu le premier grand média à remettre en question la théorie du "virus mortel". Malgré la condamnation générale, Neil a soutenu une critique de plus en plus approfondie de la théorie sur une période de deux ans.
Au milieu de l'année 1994, Hodgkinson a quitté le journal pour écrire un livre sur la controverse. Publié en 1996 par Fourth Estate, ce livre est devenu une des premières victimes de la "culture de l'annulation", figurant par la suite en tête d'une liste de "livres à ne pas lire" dans un ouvrage sur le politiquement correct dans le domaine des sciences. D'énormes fonds ont continué à être injectés dans la recherche sur le sida, bien après qu'il soit apparu clairement que les prévisions de propagation fondées sur la théorie du virus étaient fausses. Cette manne biotechnologique a entretenu des illusions sur le sida qui perdurent encore aujourd'hui, et a même financé des recherches en génie génétique menées par des scientifiques américains et chinois qui ont abouti à la catastrophe de Covid.
Le livre "annulé" de 1996 est maintenant republié dans ce nouveau volume, comme lecture obligatoire pour tous ceux qui veulent savoir à quel point la communauté scientifique peut déraper. Les parallèles frappants avec Covid sont décrits, ainsi qu'un résumé des nombreuses erreurs qui ont créé et soutenu l'hypothèse illusoire du "VIH".
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)