Note :
Le livre « As Good As Gone » de Larry Watson se caractérise par un développement riche des personnages et une description vivante du Montana de 1963. De nombreux lecteurs apprécient les personnages complexes et attachants, le cadre nostalgique et l'écriture habile de Watson. Cependant, plusieurs critiques ont exprimé leur déception à l'égard de la fin, la décrivant comme insatisfaisante et manquant de conclusion, ce qui nuit à l'expérience globale de l'histoire.
Avantages:⬤ Un développement fort des personnages, avec des personnages multidimensionnels et racontables.
⬤ Un style d'écriture vif et engageant qui capture les paysages et les nuances culturelles du Montana.
⬤ Les thèmes de la perte, de la famille et de la croissance personnelle sont explorés efficacement.
⬤ De nombreux lecteurs ont trouvé l'histoire relaxante et agréable, avec un bon équilibre de l'excitation.
⬤ Le talent de conteur de Watson est loué pour avoir entraîné les lecteurs dans le récit.
⬤ La fin est critiquée pour son caractère abrupt et insatisfaisant, laissant de nombreux thèmes et arcs de personnages en suspens.
⬤ Certains personnages sont jugés antipathiques ou dépourvus de qualités rédemptrices.
⬤ Certaines intrigues ne sont pas suffisamment développées, laissant les lecteurs sur leur faim.
⬤ Quelques lecteurs ont mentionné un contenu explicite distrayant et inutile.
⬤ Dans l'ensemble, certains ont estimé que le livre ne répondait pas aux attentes élevées suscitées par les précédents ouvrages de Watson.
(basé sur 132 avis de lecteurs)
As Good as Gone
"Honnête, chaleureux, humain et parfois choquant, As Good as Gone est un exploit d'empathie et de dignité. --Smith Henderson, auteur de Fourth of July Creek.
Calvin Sidey est toujours prêt à courir, et il ne faut pas grand-chose pour le mettre en mouvement. Jeune homme, il a fui ce quartier, Gladstone, le Montana, le pays. Il a fui sa famille et l'entreprise familiale. Il fuyait la tristesse et les responsabilités. Si les ragots sont vrais, il a fui la loi. Nous sommes en 1963 et Calvin Sidey, l'un des derniers vieux cow-boys, a depuis longtemps quitté sa famille pour vivre une vie d'autosuffisance dans la prairie. Il est un père et un grand-père plutôt absent, jusqu'à ce que son fils, dont il est séparé, lui demande de rester avec ses petits-enfants, Ann et Will, pendant une semaine, alors que lui et sa femme sont absents. Calvin accepte donc de retourner dans la petite ville où il a été une figure mythique, dans la maison même qu'il a abandonnée. Mais les ennuis ne tardent pas à pointer le bout de leur nez lorsque les attentions d'un garçon pour Ann, dix-sept ans, deviennent de plus en plus agressives et qu'un groupe d'enfants insouciants fait planer le danger sur Will, onze ans. Calvin ne connaît qu'une seule façon de résoudre les problèmes : à la manière du Far West, où l'on règle ses comptes, où l'on lance des ultimatums et où l'on a toujours son arme chargée.
Et bien qu'il ait un effet puissant sur ceux qui l'entourent - de la voisine veuve qui est tombée sous son charme à Ann et Will, qui voient en lui l'homme qui apporte un ordre soudain et violent dans leur vie - dans la culture changeante des années 1960, Calvin n'est pas qu'une relique.
Il est une carte sauvage, un danger pour lui-même et pour ceux qui l'aiment. Dans As Good as Gone, Larry Watson capture notre nostalgie du vieil Ouest et de ses héros, et il remet en question notre conception de la loyauté et de la justice. À la fois dur et tendre, c'est une réussite époustouflante.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)