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Circus Maximus: The Economic Gamble Behind Hosting the Olympics and the World Cup
Au-delà des gros titres des événements sportifs les plus appréciés au monde
Le Brésil a accueilli la Coupe du monde masculine de 2016 pour un coût de 15 à 20 milliards de dollars, en construisant de nouveaux grands stades dans des villes qui n'en ont plus guère l'utilité. Le coût prévisionnel des Jeux olympiques d'été de 2020 à Tokyo est estimé à 30 milliards de dollars, dont une grande partie proviendra de l'argent public. Dans l'édition mise à jour et augmentée de son best-seller, Circus Maximus : The Economic Gamble Behind Hosting the Olympics and the World Cup, Andrew Zimbalist s'attaque à l'affirmation selon laquelle les villes choisies pour accueillir ces événements sportifs très médiatisés bénéficient d'une manne économique. Dans cette nouvelle édition, il se penche sur les prochains Jeux olympiques d'été et d'hiver, discute de la récente Coupe du monde de football féminin et du prochain tournoi masculin au Qatar.
Circus Maximus se concentre sur les grandes villes, comme Londres, Rio et Barcelone, qui ont déjà accueilli ces événements sportifs, afin de fournir un contexte aux futures villes hôtes qui devront supporter le poids de l'explosion des dépenses, de la corruption et des protestations. Zimbalist jette un regard franc et lucide sur les Jeux olympiques et la Coupe du monde, en dehors de la chambre d'écho.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)