Note :
La collection de lettres de Hugh Trevor-Roper met en évidence son esprit impressionnant, son intelligence et la profondeur avec laquelle il aborde une variété de sujets, reflétant son statut d'historien et de correspondant remarquable. Si beaucoup apprécient le style et la perspicacité des lettres, certains critiques soulignent que son tempérament souvent critique et critique est un inconvénient, ainsi que des préoccupations concernant la sélection des lettres.
Avantages:Les lettres sont bien écrites et témoignent de l'extraordinaire maîtrise de la langue anglaise de Trevor-Roper. Elles offrent des réflexions perspicaces sur l'histoire, les relations personnelles et la vie universitaire, enrichies par une édition et des annotations judicieuses. Les lecteurs les trouvent divertissantes, engageantes et intellectuellement stimulantes, et apprécient l'humanité et la profondeur émotionnelle présentes dans sa correspondance.
Inconvénients:Certains lecteurs critiquent la nature critique de Trevor-Roper, suggérant qu'elle nuit à son caractère général. Le processus de sélection des lettres est considéré comme arbitraire par certains, et bien que le contenu soit riche, certains trouvent que toutes les lettres ne sont pas captivantes. En outre, le livre pourrait ne pas plaire à ceux qui préfèrent des formes de communication plus contemporaines.
(basé sur 19 avis de lecteurs)
One Hundred Letters from Hugh Trevor-Roper
Les cent lettres rassemblées dans ce livre illustrent l'éventail de la vie et des préoccupations de Hugh Trevor-Roper : historien, controversiste, intellectuel public, adepte des intrigues académiques, amoureux de la littérature, voyageur, compatriote. Ils dépeignent une vie d'une grande diversité.
Un esprit à l'étincelle intellectuelle et à la curiosité avide.
Un personnage qui se délectait de la comédie humaine, des absurdités, des travers et des vanités de ses contemporains. L'ironie ludique de la correspondance de Trevor-Roper le place dans une tradition littéraire qui remonte à de grands épistoliers tels que Madame de Sévigné et Horace Walpole.
Bien qu'il ait généralement évité de s'exposer émotionnellement dans sa correspondance comme en société, ses lettres à celle qui est devenue son épouse révèlent l'intensité surprenante et la profondeur brute de ses sentiments.
Trevor-Roper était l'un des chercheurs les plus doués de sa génération et l'un des donjons les plus célèbres de son époque. Encore jeune, il s'est fait connaître avec son best-seller Les derniers jours d'Hitler et est devenu célèbre pour ses attaques acerbes contre d'autres historiens. Dans la fleur de l'âge, Trevor-Roper semblait tout avoir : une Bentley grise, une prestigieuse chaire à Oxford, une belle maison de campagne, une femme titrée et, enfin, un titre à lui. Mais il n'a pas réussi à écrire le "grand livre" que l'on attendait de lui et a terni sa réputation lorsque, à un âge avancé, il a authentifié à tort les faux journaux d'Hitler.
Pour un universitaire, les intérêts de Trevor-Roper étaient extraordinairement vastes, le mettant en contact avec des personnes aussi diverses que George Orwell et Margaret Thatcher, Albert Speer et Kim Philby, Katharine Hepburn et Rupert Murdoch. La tragicomédie de son mandat en tant que maître de Peterhouse, à Cambridge, a clôturé de manière appropriée une carrière riche en incidents.
Les lettres de Trevor-Roper à Bernard Berenson, publiées sous le titre Letters from Oxford en 2006, ont fait le bonheur d'un large éventail de lecteurs. Cette sélection plus générale de sa correspondance était attendue depuis longtemps et ravira tous ceux qui apprécient l'esprit, l'érudition et la clarté de la prose.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)