Note :
Ce livre est un recueil d'essais qui explore les relations complexes et variées entre les mères et leurs enfants. De nombreux lecteurs ont trouvé qu'il était racontable et avait un impact émotionnel, et qu'il résonnait souvent profondément avec leurs propres expériences. La diversité des points de vue exprimés dans les essais en fait une lecture riche et passionnante.
Avantages:Des essais perspicaces et pertinents qui couvrent un large éventail de relations mère-enfant. Les lecteurs ont apprécié la profondeur émotionnelle et l'honnêteté, et beaucoup ont trouvé une validation dans leurs propres expériences. Le format de l'anthologie permet une lecture décontractée, et les différents récits présentent les aspects à la fois difficiles et magnifiques de la maternité.
Inconvénients:Certains lecteurs ont estimé que toutes les histoires n'étaient pas aussi intéressantes les unes que les autres, quelques-unes étant confuses ou ennuyeuses. Les attentes fondées sur l'idée du livre ne correspondaient pas aux expériences personnelles de certains, ce qui a suscité des sentiments mitigés à l'égard de certains récits.
(basé sur 59 avis de lecteurs)
What My Mother and I Don't Talk about: Fifteen Writers Break the Silence
Vous allez dévorer ces récits magnifiquement écrits - et très importants - d'honnêteté, de douleur et de résilience (Elizabeth Gilbert, auteur de Eat Pray Love et City of Girls, best-seller du New York Times) de quinze brillants écrivains qui explorent comment ce dont nous ne parlons pas avec nos mères nous affecte, pour le meilleur et pour le pire.
Alors qu'elle était étudiante, Michele Filgate a commencé à écrire un essai sur les violences subies de la part de son beau-père. Il lui a fallu plus de dix ans pour réaliser qu'elle essayait en fait d'écrire sur la façon dont cela affectait sa relation avec sa mère. Lorsqu'il a finalement été publié, l'essai est devenu viral, partagé sur les réseaux sociaux par Anne Lamott, Rebecca Solnit et bien d'autres. Cela a donné une idée à Filgate, et l'anthologie qui en a résulté offre un regard franc sur nos relations avec nos mères.
Leslie Jamison raconte comment elle a essayé de découvrir qui était sa mère apparemment parfaite avant même de devenir mère. Dans l'article hilarant de Cathi Hanauer, elle a enfin l'occasion d'avoir une conversation avec sa mère qui n'est pas interrompue par son père dominateur (mais adorable). Andr Aciman raconte ce que c'est que d'avoir une mère sourde. Melissa Febos se sert de la mythologie comme d'une lentille pour examiner la relation étroite qu'elle entretient avec sa mère psychothérapeute. Enfin, Julianna Baggott parle d'une mère qui lui dit tout.
Comme l'écrit Filgate, "nos mères sont nos premières maisons, et c'est pourquoi nous essayons toujours d'y retourner". Il y a du soulagement à reconnaître que ce que nous n'avons pas pu dire pendant si longtemps est un moyen de guérir nos relations avec les autres et, ce qui est peut-être le plus important, avec nous-mêmes.
Contributions de Cathi Hanauer, Melissa Febos, Alexander Chee, Dylan Landis, Bernice L. McFadden, Julianna Baggott, Lynn Steger Strong, Kiese Laymon, Carmen Maria Machado, Andr Aciman, Sari Botton, Nayomi Munaweera, Brandon Taylor et Leslie Jamison.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)