Note :
Le livre « In the Land of White Death » (Au pays de la mort blanche) de Valerian Albanov raconte une histoire vraie et poignante de survie au cours d'une expédition malheureuse dans l'Arctique au début du 20e siècle. Albanov, commandant en second, conduit un groupe d'hommes sur des glaces traîtresses dans une tentative désespérée de se mettre à l'abri après que leur navire a été piégé. Le récit se distingue par son style honnête et direct, tout en critiquant l'incompétence des dirigeants et la lutte pour la survie contre les forces brutales de la nature.
Avantages:Le livre est bien écrit et captivant, offrant une perspective unique sur l'exploration polaire sans l'héroïsme typique que l'on trouve souvent dans des récits similaires. Le style franc d'Albanov rend l'histoire compréhensible et captivante. De nombreux lecteurs trouvent que c'est un récit exaltant et inspirant, qu'il est souvent difficile de lâcher. Le livre est également salué pour son importance historique et la façon dont il décrit les dures réalités de la survie.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé que certaines parties du livre étaient répétitives, compte tenu de la nature des conditions difficiles rencontrées. Certains se plaignent également de la qualité de certaines versions, qui sont abrégées ou mal éditées, ce qui diminue la profondeur et l'authenticité du récit original. Quelques critiques ont noté que ce livre n'était peut-être pas aussi captivant que d'autres récits d'aventures polaires célèbres tels que « Endurance » ou « L'incroyable voyage de Shackleton ».
(basé sur 140 avis de lecteurs)
In the Land of White Death: An Epic Story of Survival in the Siberian Arctic
En 1912, six mois après que Robert Falcon Scott et quatre de ses hommes eurent échoué en Antarctique, un navigateur russe de trente-deux ans, Valerian Albanov, s'est embarqué dans une expédition qui allait s'avérer encore plus désastreuse. À la recherche de nouveaux territoires de chasse dans l'Arctique, le navire d'Albanov, le Saint Anna, est gelé dans la banquise de la perfide mer de Kara. Un malheur aggravé par l'incompétence du commandant, l'absence de cartes marines cruciales, le manque de carburant et l'insuffisance des provisions, qui affaiblissent l'équipage et le débilitent à cause du scorbut.
Pendant près d'un an et demi, les vingt-cinq hommes et une femme à bord du Saint Anna ont enduré de terribles épreuves et dangers alors que le navire, pris dans les glaces, dérivait impuissant vers le nord. Convaincus que le Saint Anna ne se libérera jamais des glaces, Albanov et treize hommes d'équipage quittent le navire en janvier 1914, tirant derrière eux des traîneaux et des kayaks de fortune sur la mer gelée, dans l'espoir d'atteindre la côte lointaine de la Terre François-Joseph. Avec pour seul guide une carte étonnamment imprécise, Albanov a conduit ses hommes dans un voyage de 235 milles de péril permanent, endurant les blizzards, la désintégration de la banquise, les attaques d'ours polaires et de morses, la famine, la maladie, la cécité des neiges et la mutinerie. Il est étonnant qu'une partie de l'équipe ait survécu. Le fait qu'Albanov ait tenu un journal de ses quatre-vingt-dix jours d'épreuve - une histoire que Jon Krakauer qualifie de "livre stupéfiant et tout à fait captivant" et que David Roberts considère comme "aussi mince et tendu qu'un bon thriller" - relève presque du miracle.
Publié pour la première fois en Russie en 1917, le récit d'Albanov est ici traduit en anglais pour la première fois. Hanté, plein de suspense et raconté avec des détails saisissants, Au pays de la mort blanche peut désormais prendre sa place parmi les écrits classiques de Nansen, Scott, Cherry-Garrard et Shackleton.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)