Note :
Le livre de Washington Irving relate les débuts de l'entreprise de traite des fourrures dirigée par John Jacob Astor à l'embouchure du fleuve Columbia, décrivant les difficultés et les aventures des explorateurs ainsi que les interactions avec diverses tribus amérindiennes. Si de nombreux lecteurs saluent son récit captivant et ses aperçus historiques, certains critiquent l'usage excessif des virgules, les préjugés perçus et les termes désuets se rapportant aux Amérindiens.
Avantages:⬤ Une narration et un récit historique captivants
⬤ bien écrit et accessible
⬤ une représentation bien documentée des interactions avec les tribus amérindiennes
⬤ met en lumière la force d'âme des premiers explorateurs
⬤ offre une perspective unique sur un événement historique peu connu
⬤ convient à la fois aux lecteurs occasionnels et à ceux qui s'intéressent à l'histoire.
⬤ Utilisation excessive de virgules
⬤ certains lecteurs le trouvent ennuyeux et répétitif
⬤ questions concernant la véracité du récit
⬤ parti pris perçu en faveur de John Jacob Astor
⬤ utilisation de termes désuets et politiquement incorrects pour décrire les Amérindiens
⬤ certaines parties peuvent être difficiles à lire en raison du style d'écriture du 19e siècle.
(basé sur 31 avis de lecteurs)
Astoria, or Anecdotes of an Enterprize Beyond the Rocky Mountains
En 1811, un groupe de commerçants américains a construit un fort à l'embouchure du fleuve Columbia, baptisé Fort Astoria en l'honneur de son financier, John Jacob Astor. Envisagé comme le point de départ d'un empire de la traite des fourrures, le projet s'est soldé en 1813 par un échec commercial et le fort a été cédé aux Britanniques. Mais pendant sa courte vie, Astoria a apporté des avantages incalculables à la compréhension publique du Grand Nord-Ouest. L'exploration des routes commerciales, la description de diverses tribus indiennes et de leurs coutumes, ainsi qu'une revendication américaine sur la côte nord-ouest figurent parmi ses nombreux héritages.
Astor ne s'est jamais départi de sa fierté à l'égard de l'entreprise et a insisté sur le fait que l'Ouest serait un jour un facteur dominant dans la politique nationale. Pour faire valoir son point de vue, il demanda à Washington Irving, l'auteur le plus renommé et le plus respecté du pays, de transformer les documents du Fort Astoria en une histoire unifiée et lisible. Irving accepta l'offre et publia Astoria en 1836.
Depuis sa première parution, saluée par le critique Edgar Allan Poe, jusqu'à aujourd'hui, Astoria a été lu comme une histoire vivante et fascinante, comparable aux plus belles romances, mais enracinée dans la vie rude de la trappe, de la chasse et de l'exploration.
Le texte de cette édition est approuvé par le Center for editions of American Authors, Modern Language Association of America.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)