Note :
Le livre de Quentin Letts est une critique virulente de ce que l'on appelle les « bossocrates » et des diverses règles et réglementations sociétales que beaucoup considèrent comme oppressives. Il utilise la satire et l'humour pour aborder le politiquement correct et la tyrannie perçue des différentes autorités pendant la pandémie de COVID-19 et au-delà. Les critiques apprécient l'esprit de Letts et les frustrations qu'il exprime, mais certains pensent que l'exécution aurait pu être mieux structurée et que tous les points soulevés ne trouvent pas d'écho auprès de tous les lecteurs.
Avantages:⬤ Un style d'écriture plein d'esprit et engageant
⬤ des observations humoristiques
⬤ des frustrations réalistes face aux règles de la société
⬤ un appel à la liberté individuelle
⬤ agréable pour ceux qui n'aiment pas être dirigés
⬤ donne une voix à la majorité silencieuse
⬤ fait réfléchir sur des questions d'actualité.
⬤ Quelque peu répétitif par rapport aux ouvrages précédents
⬤ pourrait bénéficier d'une meilleure organisation
⬤ certaines critiques, en particulier sur les restrictions COVID-19, peuvent sembler exagérées pour certains lecteurs
⬤ tous les points ne sont pas forcément pertinents
⬤ des problèmes de livraison ont été signalés par certains clients.
(basé sur 41 avis de lecteurs)
Stop Bloody Bossing Me about: How We Need to Stop Being Told What to Do
Mains, visage, espace. Couvre-feu. Ne pas boire. Plier les genoux. Se conformer, obéir, se conformer - se rendre. La vie britannique est devenue infestée par l'autoritarisme.
Boris Johnson a conquis le pouvoir comme un électron libre, mais sa première année en tant que Premier ministre a été marquée par une fièvre de reproches. La véritable pandémie ? La naïveté passive-agressive des politiciens, des scientifiques et des fonctionnaires. De Sage et ses graphiques aux grands de la BBC qui nous disent de ne pas chanter "Rule Britannia", du National Trust et sa manie de l'esclavage au nombre de calories sur les menus : pourquoi ne nous laissent-ils pas tranquilles ? Les metteurs en scène de théâtre nous assomment de leur propagande. Les cyclistes militants nous crient dessus depuis leur selle. Meghan Markle nous reproche de ne pas être plus californienne.
L'autoritarisme : a-t-il commencé lorsque Moïse est descendu de la montagne avec ses tablettes ? Cromwell a devancé Chris Whitty de quatre siècles et a interdit Noël. A. Hitler, B. Mussolini et J. V. Staline : ils aimaient peser de tout leur poids, mais les dictateurs égoïstes d'aujourd'hui sont plus subtils. Ils le font avec un sourire bienveillant. Ils nous disent que c'est pour notre bien. Ils se disent libéraux !
Après son best-seller Fifty People Who Buggered Up Britain et son favori de Noël 2017 Patronising Bastards, l'auteur de sketches parlementaires Quentin Letts revient en force avec un hurlement vitupérant contre la "bossocratie". Ils nous disent quoi faire, quoi dire, comment penser. Letts leur donne un coup de framboise prolongé et retentissant. Il nomme les hommes et les femmes coupables : Dominic Cummings, le professeur Neil Ferguson, Nicola Sturgeon, l'archevêque de Canterbury, Cressida Dick, Michael Gove, et même le bienheureux Sir David Attenborough. Bang ! Ils en prennent tous pour leur grade. Et puis, il y a Matt Hancock, cet imbécile en mal de publicité, qui pose pour des photos tout en faisant ses exercices de musculation de "Mr Fit".
Les gens raisonnables en ont assez d'être dirigés. Et lorsque les gens raisonnables cessent de respecter la loi, la société a un problème.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)