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Aristotle on Happiness
Révision avec contenu inchangé. J'explique et je défends la conception du bonheur d'Aristote.
Elle est importante, non seulement parce que la plupart d'entre nous aspirent au bonheur, mais aussi parce qu'elle joue un rôle important dans l'éthique. Le bonheur, le bien suprême, souligne-t-il, n'est pas identique au plaisir, bien qu'une personne heureuse ressente du plaisir. Il s'agit plutôt d'une notion complexe qui implique la fonction caractéristique des êtres humains.
J'explique comment la contemplation, l'action vertueuse et l'engagement dans des amitiés vertueuses font chacun individuellement partie de la nature du bonheur et comment les biens extérieurs - en particulier la richesse, le pouvoir, la santé, les bons enfants et la beauté - sont nécessaires au bonheur. En outre, je réponds à diverses objections selon lesquelles non seulement l'activité intellectuelle, mais aussi l'activité vertueuse et les amitiés font partie de la nature du bonheur.
Dans la dernière partie du livre, je compare Aristote et Confucius sur l'importance de l'éthique de la vertu pour vivre une bonne vie. Les deux philosophes définissent la vertu en termes de moyenne entre les extrêmes, soulignent l'importance de l'activité dans l'apprentissage de la vertu, affirment qu'il faut apprendre aux gens à reconnaître ce qui est vertueux et comment un acte l'est, et soutiennent que les lois doivent être utilisées pour encourager les gens à être vertueux.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)