Note :
Le livre de fées orange d'Andrew Lang présente une collection variée de contes de fées actualisés pour les lecteurs modernes, avec des histoires de différentes cultures comportant des éléments magiques et des leçons de morale. Si de nombreux lecteurs ont apprécié la nostalgie et la richesse des contes, certains ont critiqué la version pour les fautes de frappe et la mauvaise qualité des illustrations.
Avantages:⬤ Histoires culturellement diverses et en plusieurs langues
⬤ motifs narratifs attrayants
⬤ descriptions hyperboliques
⬤ leçons de morale dans chaque histoire
⬤ nostalgie pour les lecteurs de longue date
⬤ belles illustrations (dans certaines éditions).
⬤ Nombreuses fautes de frappe dans tout le livre
⬤ certaines versions ont des illustrations de mauvaise qualité et mal assorties
⬤ conception de la couverture insatisfaisante pour certains acheteurs.
(basé sur 10 avis de lecteurs)
The Orange Fairy Book by Andrew Lang, Fiction, Fairy Tales, Folk Tales, Legends & Mythology
La vieille énigme reste une énigme : pourquoi les histoires des peuples les plus éloignés se ressemblent-elles autant ? Bien sûr, dans un passé incommensurable, elles ont été transportées par les races conquérantes, et apprises par les races conquérantes auprès des peuples vaincus.
Les esclaves transportés loin de chez eux ont apporté leurs histoires en captivité. Les vagabonds, les voyageurs, les naufragés, les marchands et les épouses volées à des tribus étrangères ont diffusé ces histoires ; les gitans et les juifs les ont colportées ; les soldats romains de nombreuses races différentes, déplacés ici et là dans l'Empire, en ont fait le trafic.
Depuis les temps les plus reculés, les hommes ont été des vagabonds, et partout où ils allaient, leurs histoires les accompagnaient. La traite des esclaves pouvait conduire un Grec en Perse, un Perse en Grèce, une Égyptienne en Phénicie, un Babylonien en Égypte, un enfant scandinave pouvait être transporté avec l'ambre de la Baltique à l'Adriatique, ou un Sidonien à Ophir, où qu'Ophir ait pu se trouver, tandis que les Portugais pouvaient porter leurs récits en Afrique du Sud ou en Asie, et de là en ramener d'autres en Égypte. Les histoires ont voyagé partout où les missionnaires bouddhistes sont allés, et les premiers voyageurs français les ont racontées aux Indiens rouges.
Ces faits permettent d'expliquer la similitude des récits partout ; et l'uniformité de la fantaisie humaine dans les sociétés primitives doit être à l'origine de beaucoup d'autres ressemblances. -- Extrait de la préface d'Andrew Lang à ce volume.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)