Note :
Le recueil de nouvelles « The Pat Hobby Stories » de F. Scott Fitzgerald présente un mélange d'humour et d'amertume autour de la vie d'un scénariste hollywoodien en difficulté. Bien que les histoires contiennent un esprit vif et montrent les observations de Fitzgerald sur l'industrie, de nombreux lecteurs estiment qu'elles ne sont pas à la hauteur de ses chefs-d'œuvre antérieurs. Le personnage de Pat Hobby représente une figure désenchantée d'Hollywood, et l'écriture reflète les luttes personnelles de Fitzgerald au cours de ses dernières années.
Avantages:Les lecteurs apprécient l'humour acerbe, les observations pleines d'esprit et le point de vue unique sur le milieu de l'écriture à Hollywood. Certains trouvent ces histoires divertissantes, accessibles et reflétant des thèmes culturels plus larges. Ils apprécient les éléments autobiographiques et l'aperçu de la vie de Fitzgerald à une époque tumultueuse.
Inconvénients:De nombreux critiques estiment que ces histoires ne sont pas à la hauteur des meilleures œuvres de Fitzgerald et qu'elles manquent de la profondeur et de la qualité que l'on retrouve dans des classiques antérieurs tels que « The Great Gatsby ». Certains décrivent le personnage de Pat Hobby comme antipathique et l'humour comme mesquin. Dans l'ensemble, on s'accorde à dire que ces histoires représentent un déclin des prouesses littéraires de Fitzgerald.
(basé sur 26 avis de lecteurs)
The Pat Hobby Stories
Une fascinante étude d'autosatisfaction qui fait revivre les années hollywoodiennes de F.
Scott Fitzgerald. Le cadre : Hollywood : le personnage : Pat Hobby, un scénariste en panne d'inspiration qui tente de se réinsérer dans le monde du spectacle, mais qui a plus de chance d'entrer dans les bars.
Écrites entre 1939 et 1940, à l'époque où F. Scott Fitzgerald travaillait pour les studios Universal, les dix-sept histoires de Pat Hobby ont été publiées pour la première fois dans le magazine Esquire et dressent le portrait humoristique et amer d'un scénariste qui a connu le succès et qui devient une ordure oubliée sur un terrain d'Hollywood. Ce n'était pas de l'art", disait souvent Pat Hobby, “c'était une industrie” où “la personne avec laquelle on s'asseyait pour déjeuner était plus importante que ce que l'on dictait dans son bureau”.
La séquence de Pat Hobby, comme l'écrit Arnold Gingrich dans son introduction, est le « dernier mot de Fitzgerald depuis sa dernière demeure, car une grande partie de ce qu'il ressentait à propos d'Hollywood et de lui-même imprégnait ces histoires ». "
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)