Note :
A Dark Night's Work d'Elizabeth Gaskell est un récit captivant qui explore les répercussions psychologiques d'un événement tragique sur la vie de ses personnages, en particulier Ellinor Wilkins. La novella aborde les thèmes de la culpabilité, des liens familiaux et des pressions sociales de l'Angleterre victorienne, tout en mettant en évidence le talent de Gaskell en matière de développement des personnages et de profondeur émotionnelle. Malgré quelques critiques concernant le rythme et les réactions des personnages, les lecteurs trouvent que le récit est captivant et qu'il donne à réfléchir.
Avantages:Bien écrit, avec un développement approfondi des personnages, une intrigue captivante, l'exploration de thèmes sociétaux, un récit captivant et une résonance émotionnelle. Les lecteurs apprécient la capacité de Gaskell à dépeindre les émotions humaines complexes et l'impact des actions sur les relations.
Inconvénients:Certains lecteurs ont trouvé le rythme lent et l'utilisation d'un langage formel et démodé fastidieux. Le personnage d'Ellinor a été jugé trop fragile ou agaçant par certains, et quelques critiques ont mentionné des fautes de frappe dans la publication.
(basé sur 27 avis de lecteurs)
A Dark Night's Work
Dans le chef-lieu d'un certain comté vivait (il y a environ quarante ans) un certain M.
Wilkins, un avocat spécialisé dans la cession de biens immobiliers et jouissant d'une grande notoriété. Le certain shire n'était qu'un petit comté, et la ville principale ne comptait qu'environ quatre mille habitants ; en disant que M.
Wilkins était le principal avocat de Hamley, je ne dis pas grand-chose, si ce n'est qu'il traitait toutes les affaires juridiques de la noblesse dans un rayon de vingt milles. Son grand-père avait établi le lien ; son père l'avait consolidé et renforcé et, en fait, par sa conduite sage et droite, ainsi que par ses compétences professionnelles, il avait obtenu pour lui-même la position d'ami confidentiel de nombreuses familles distinguées des environs. Il leur rendait visite comme aucun simple avocat ne l'avait jamais fait auparavant ; il dînait à leur table - seul, sans être accompagné de sa femme, il faut bien le dire ; il se rendait parfois à l'assemblée comme par hasard, bien qu'il soit aussi bien monté que n'importe quel écuyer parmi eux, et on le persuadait souvent (après quelques palabres sur les « engagements professionnels » et « l'absence au bureau ») de faire une course avec ses clients ; oui, une fois ou deux, il a oublié sa prudence habituelle, a été le premier à mourir et est rentré à la maison avec la brosse.
Mais en général, il connaissait sa place, telle qu'elle était considérée dans ce comté aristocratique et à cette époque. Qu'on ne croie pas non plus qu'il était de quelque manière que ce soit un toadeur.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)