Note :
Le Collier du Vagabond, roman d'aventure historique de H. Rider Haggard, est centré sur le protagoniste Olaf, un guerrier viking en quête d'amour et de rédemption. L'histoire traverse des lieux exotiques tels que Byzance et l'Égypte, entremêlant des éléments de romance, d'histoire et d'aventure tout en mettant en avant les thèmes de l'honneur et du devoir. Les avis des lecteurs varient, beaucoup louant ses qualités d'imagination et d'engagement, tandis que d'autres trouvent qu'il manque de profondeur ou d'excitation.
Avantages:Des personnages attachants, des aventures passionnantes, un bon style d'écriture, des émotions fortes, des éléments historiques bien intégrés et une lecture facile. L'histoire offre un mélange d'action, de romance et d'histoire ancienne, ce qui plaira aux amateurs de récits épiques et de l'œuvre de Haggard.
Inconvénients:Certains ont trouvé l'histoire plate ou lente, avec un personnage principal peu développé. Certains se sont plaints du manque de conclusion de la fin, de problèmes de lisibilité dans certaines éditions, et quelques lecteurs l'ont décrite comme ennuyeuse ou manquant d'excitation.
(basé sur 37 avis de lecteurs)
The Wanderer's Necklace
De mon enfance dans cette vie d'Olaf, je ne peux retrouver que peu de choses. Il me revient cependant le souvenir d'une maison entourée d'un fossé, située dans une grande plaine près des mers ou des lacs intérieurs, sur laquelle se dressaient des monticules que j'associais aux morts.
Je ne comprenais pas très bien ce qu'étaient les morts, mais j'en déduisais qu'il s'agissait de personnes qui, après s'être promenées et avoir été éveillées, se couchaient maintenant dans un lit de terre et dormaient. Je me souviens d'avoir regardé un grand monticule dont on disait qu'il recouvrait un chef appelé "Le Vagabond", dont Freydisa, la femme sage, ma nourrice, m'a dit qu'il avait vécu des centaines ou des milliers d'années auparavant, et d'avoir pensé que tant de terre au-dessus de lui devait lui donner très chaud la nuit. Je me souviens aussi que la salle appelée Aar était une longue maison couverte de mottes de terre, sur lesquelles poussaient de l'herbe et parfois de petites fleurs blanches, et qu'à l'intérieur les vaches étaient attachées.
Nous vivions dans un endroit plus loin, séparé des vaches par des planches de bois brut. J'avais l'habitude d'assister à la traite des vaches par une fissure entre deux poutres, où un nœud était tombé, laissant un œil pratique à la hauteur d'un bâton de marche à partir du sol.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)