Note :
Les critiques de « The Call of the Wild » soulignent la puissance de la narration et le développement des personnages à travers le voyage de Buck, un chien qui passe du statut d'animal de compagnie bien-aimé à celui d'animal sauvage dans la rude nature de l'Alaska. Les thèmes abordés dans le livre sont la survie, la résilience et le point de vue de l'animal sur la vie. Si beaucoup louent l'accessibilité du livre et sa prose percutante, certains lecteurs se disent gênés par la violence et les thèmes de la cruauté envers les animaux présents dans le récit.
Avantages:⬤ Un récit captivant du point de vue du chien.
⬤ Des thèmes forts sur la survie et la résilience.
⬤ Développement de personnages riches et profondeur émotionnelle.
⬤ Prose accessible, convenant même aux jeunes lecteurs.
⬤ Le statut de classique et l'impact durable sur la littérature et la culture.
⬤ Convient aux discussions et aux clubs de lecture.
⬤ La représentation de la cruauté envers les animaux peut être pénible pour certains lecteurs.
⬤ Certains estiment que les thèmes sont trop simplistes ou unilatéraux.
⬤ Certaines éditions présentent des problèmes de formatage.
⬤ Ne convient pas initialement aux très jeunes enfants en raison de la noirceur des thèmes abordés.
(basé sur 1456 avis de lecteurs)
The Call of the Wild by Jack London, Fiction, Classics, Action & Adventure
La bête primordiale dominante était forte dans Buck, et dans les conditions féroces de la vie sur le sentier, elle grandissait et grandissait. Mais c'était une croissance secrète. Sa ruse naissante lui donnait de l'assurance et du contrôle. Il était trop occupé à s'adapter à sa nouvelle vie pour se sentir à l'aise, et non seulement il ne cherchait pas la bagarre, mais il l'évitait autant que possible. Son attitude est empreinte d'une certaine prudence. Il n'était pas enclin à la témérité et à la précipitation.
Et dans la haine acharnée qui l'opposait à Spitz, il ne trahissait aucune impatience, évitait tout acte offensif. En revanche, peut-être parce qu'il voyait en Buck un rival dangereux, Spitz ne perdait jamais une occasion de montrer les dents. Il s'ingéniait même à malmener Buck, s'efforçant sans cesse de déclencher la bagarre qui ne pouvait aboutir qu'à la mort de l'un ou de l'autre. Au début du voyage, cela aurait pu se produire s'il n'y avait pas eu un accident inattendu. A la fin de cette journée, ils établirent un campement lugubre et misérable sur la rive du lac Le Barge. La neige battante, le vent qui coupait comme un couteau chauffé à blanc et l'obscurité les avaient forcés à chercher à tâtons un endroit pour camper. Ils auraient pu difficilement faire pire. Dans leur dos s'élevait une paroi rocheuse perpendiculaire, et Perrault et François furent obligés de faire leur feu et d'étendre leurs vêtements de nuit sur la glace du lac lui-même. La tente dont ils s'étaient débarrassés à Dyea pour voyager léger. Quelques bâtons de bois flotté leur fournissent un feu qui dégèle à travers la glace et leur permet de souper dans l'obscurité.
Dès 1923, l'histoire a été adaptée au cinéma et, depuis, elle a connu plusieurs autres adaptations cinématographiques.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)