Note :
Les critiques pour 'Beric the Briton' soulignent qu'il s'agit d'un roman de fiction historique captivant de GA Henty qui explore les thèmes de la guerre, de la persécution et du triomphe personnel à l'époque de l'empereur Néron. Bien que la narration soit appréciée pour ses détails et le développement des personnages, de nombreux critiques ont exprimé leur frustration quant à la qualité et au formatage de l'édition, en particulier en ce qui concerne la petite taille des caractères d'imprimerie.
Avantages:Le livre est magnifiquement écrit, avec des personnages attachants et une riche toile de fond historique. Les critiques ont fait l'éloge de sa narration forte, de ses descriptions détaillées et de la façon dont il intègre les thèmes de la bravoure et de la foi dans le contexte de l'histoire romaine et britannique. Nombreux sont ceux qui ont trouvé ce livre agréable et digne d'être lu.
Inconvénients:Plusieurs évaluateurs ont noté des problèmes importants liés à la taille des caractères, qui est extrêmement petite, ce qui rend la lecture difficile pour les lecteurs souffrant de déficiences visuelles. Des problèmes de mise en forme ont également été soulignés, notamment la faiblesse des marges et de la présentation générale. En outre, certains ont estimé que la description de certains événements historiques était exagérée ou inexacte, et que l'histoire se concentrait trop sur Rome plutôt que sur la Grande-Bretagne.
(basé sur 39 avis de lecteurs)
Beric the Briton: A Story of the Roman Invasion
"J'ai de grands espoirs en toi, Beric. Je sais que tu es courageux, car l'autre jour, tu as tué d'une flèche un grand loup ; mais la bravoure est commune à tous, je ne pense pas qu'il y ait un lâche dans la tribu. Je crois que tu es intelligent. J'ai consulté le vieux druide dans la forêt la semaine dernière, et il a prophétisé une grande destinée pour toi ; et lorsque le messager a apporté la sommation romaine me demandant de te livrer comme otage, il m'a semblé que c'était de toutes les choses celle qui te conviendrait le mieux pour un futur règne. Je n'ai pas d'ambition pour toi, Beric. Que tu sois roi de tous les Bretons ne me servirait à rien. C'est à notre pays que je pense. Nous avons besoin d'un grand chef, et je prie les dieux pour qu'ils en trouvent un. Si vous êtes l'homme qu'il nous faut, tant mieux ; mais si ce n'est pas le cas, que ce soit un autre. Comportez-vous parmi eux de manière indépendante, comme quelqu'un qui sera un jour chef d'une tribu britannique, mais ne soyez ni maussade ni obstiné. Mélangez-vous librement avec eux, apprenez leur langue, découvrez les lois qui régissent leur vie, voyez comment ils construisent leurs merveilleuses maisons, observez les soldats pendant leurs exercices, afin de pouvoir, lorsque vous reviendrez parmi nous, entraîner les Sarci à se battre de la même manière. Gardez toujours le même objectif à l'esprit. Exercez vos muscles tous les jours, car parmi nous, aucun homme ne peut diriger s'il n'est pas aussi fort et aussi courageux que les meilleurs qui le suivent. Portez-vous de manière à être bien vu de tous les hommes".
Beric avait, de son mieux, suivi les instructions de sa mère. L'objectif des Romains était toujours de vaincre leurs adversaires si possible, et le garçon n'avait aucune raison de se plaindre du traitement qui lui était réservé. Il fut placé sous la responsabilité de Caius Muro, commandant d'une légion, et un esclave fut immédiatement désigné pour lui enseigner le latin. Il prenait ses repas avec le scribe et l'intendant de la maison, car Caius était d'une famille noble, très riche, et sa maison était l'une des plus belles de Camalodunum. C'était un homme bon et juste, très aimé de ses troupes. Dès que Beric eut appris la langue, Caïus ordonna au scribe de lui enseigner les éléments du droit romain, et à un décurion de le prendre en main et de l'instruire dans le maniement des armes.
Comme Beric était à la fois désireux d'étudier et de s'exercer aux armes, il obtint l'approbation de ses deux professeurs. Julia, l'épouse de Caius, une dame bienveillante, se prit d'affection pour le garçon. "Un jour, alors qu'il avait quatorze ans, elle lui dit : "Il fera un bel homme, Caïus. "Vois comme il est beau et fort ; Scipion, le fils du centurion Metellus, a deux ans de plus que lui, et pourtant il est moins fort que ce jeune Britannique".
- Extrait de "Beric The Briton : Une histoire de l'invasion romaine" écrit par G. A. Henty.
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Dernière modification: 2024.11.14 07:32 (GMT)